Centenaire de la Grande Guerre (Culture)
Spectacle à Mâcon !
Afin de commémorer le centenaire de la Première guerre mondiale, le Département organise une action d’envergure inscrite dans sa politique culturelle, à l’échelle de son territoire. Les Archives départementales proposent ainsi un programme de manifestations labellisé « Centenaire 14 – 18 » par la Mission nationale, autour de l’exposition « Nouvelles du front, échos de Saône-et-Loire ». Toutes ces activités sont proposées gratuitement au public.
Dans ce cadre, les Archives départementales présentent le spectacle suivant en partenariat avec la Médiathèque de Mâcon.
Spectacle
« Un p’tit jardin sus l’ventre » – Conte de tranchées
Vendredi 7 novembre 2014 à 20 h
Médiathèque de Mâcon
23 rue de la République – 71000 MÂCON
Gilles Berry, comédien, reprend avec la Cie de l’Écluse ce spectacle créé et mis en scène par Jean-François Maurier et présenté au Lucernaire à Paris.
Dans un espace de jeu intime et dépouillé, un homme raconte des histoires de tranchées, de misère, de malheurs, avec humour et rage mêlés. Elles se déroulent comme des contes, entrecoupés d’extraits de lettres, coupures de journaux, circulaires militaires, chansons et textes de poilus.
La parole et son authenticité priment, avec le souci de respecter la simplicité qu’impose le sujet.
« P’TIT JARDIN SUS L’VENTRE »
Mis en scène et écrit à partir des témoignages, récits, articles, lettres sur la période 14/18 par Jean-François Maurier et interprété par Gilles Berry, le spectacle se déroule dans un espace de jeu intime et dépouillé comme une suite de contes, entrecoupés d’extraits de lettres,
coupures de journaux, circulaires militaires, chansons et textes de poilus.
Ce sont des histoires de tranchée, de misère, de malheur, dites avec humour, poésie et rage mêlés. Fictionnelles ou pas, ces histoires parlent au plus près du quotidien des soldats et sont à l’image de ce que fut « la der des ders ».
Au-delà des commémorations plus ou moins convenues, elles agissent comme un nécessaire rappel. La parole et son authenticité priment ici, avec le souci de respecter la simplicité qu’impose le sujet.