JOUR 4 

1er film : Le roman de Jim des frères Larrieu

Critique 1 :

« Le roman de Jim » est une comédie dramatique dans laquelle nous suivons Aymeric, un homme avec un parcours de vie difficile entre délinquant et parent. Ce film montre en partie l’amour d’un pére malgré les barrières. Nous avons bien aimé les images et l’histoire de cet homme , les relations sont très touchantes .

Yoan , Matthieu , Mathéo , Maxime , Thomas et Enzo

Critique 2 :

Ce film nous présente l’histoire d’Aymeric et plus particulièrement sa relation avec son fils non biologique, Jim. On nous représente une histoire qui peut nous paraître originale mais qui, finalement, représente la vie de beaucoup de familles modernes, c’est à dire recomposées.

Ainsi, on se sent facilement touché par le sujet en raison de l’augmentation des cas de famille recomposée ou de monoparentalité. Ici, Aymeric devient le père de Jim en rencontrant sa mère une fois enceinte, jusqu’à ce qu’un imprévu arrive. Dans une histoire dynamique et touchante, on suit la bataille d’Aymeric pour garder contact avec Jim, et pour se remettre de son départ. Les personnages sont très bien interprétés, les dialogues sont fluides et agréables à entendre, complétant ainsi la qualité du scénario et de la mise en scène. On ne cesse d’être surpris et touché tout au long de cette histoire qui, à la fois nous révolte et nous intrigue.

Jane et Fanny

2ème film : Flow de Gints Zilbalodis

Critique 1 :

Ce film d’animation réalisé par Gints Zilbalodis nous raconte l’histoire d’un chat, qui tente de survivre dans un monde sans humain, dans lequel une terrible inondation survient. Son seul moyen de survivre est de cohabiter avec d’autres animaux sur un bateau. L’esthétique du film, les couleurs, les textures, le son, nous permettent de nous intégrer pleinement dans l’aventure des personnages. Entre peur, soulagement, et rire, les spectateurs sont plongés dans les relations entre les personnages, leur complicité, leurs querelles, les incompréhensions. Dans une mise en scène à la fois poétique et dynamique, c’est avec une grande attention que nous suivons chaque détail réfléchi de ce long métrage. On peut ainsi voir ce film de manière simple, ouverte à tout public, comme les enfants, mais on peut aussi regarder ce film de manière plus complexe et profonde, en voyant plusieurs thématiques abordées, comme l’amitié, la tolérance des différences, l’importance de l’entraide et tant d’autres, car tout le monde a une liberté d’interprétation, entre autre grâce à l’absence de dialogue.

Jane et Fanny

Critique 2 :

« Flow » est un film d’animation et d’aventure. On suit un chat dans un monde recouvert d’eau, il est sur un bateaux avec d’autres animaux et vivent plein d’aventure.

J’ai apprécié ce film car l’animation était sublime, une bande son remarquable qui reste en tête et une histoire captivante qui laisse place à notre réflexion personnelle face aux scènes qui montre les choses mais ne dit rien.

Une arche de Noé post apocalyptique qui marque les esprits par sa beauté et sa nature splendide.

Thomas

3ème film : La mer au loin de Saïd Hamich Benlarbi

Un film touchant portant sur le personnage d’un migrant. On ne suit pas son périple depuis elpays d’origine, on le suit de 1990 aux années 2000. On découvre de façon différente la vie d’un jeune marocain cherchatn à devenir français, avoir la nationalité et en même temps d’éloignant des traditions et de la famille. Ce film évoque la difficulté de s’intégrer, mais aussi la solidarité, l’amitié et pose un regard optimiste sur la migration : tout est possible a qui fait preuve de générosité et d’humanité, car tel est le personnage de Nour, subtilement incarné par Ayoub Gretaa.

4ème film : Maria de Jessica Palud

Ce film est un biopic portant sur Maria Schneider, fille de Daniel Gelin et notamment connue pour le film « Le Dernier Tango à Paris », qui à sa sortie, avait fait scandale en raison d’une scène marquée de violence sexuelle. C’est une histoire touchante et belle sur une célébrité à double tranchant. Le scénario s’inspire du livre écrit par Vanessa Schneider « Tu t’appelais Maria Schneider ». Le jeu d’acteur nous immerge aussi bien que l’atmosphère de malaise qui y règne. Nous voyons, à travers Maria, les coulisses du cinéma et des films qui peuvent s’avérer cruel pour les acteurs qui découvrent la célébrité. Grâce une mise en scène touchante et dynamique, on nous propose une dénonciation bouleversante de la condition des femmes au cinéma, qui marque les esprits.

Jane et Fanny