Depuis le 11 novembre 2010, date de notre aménagement, je contemple dès le lever le « coquetier » et le soir les loupiotes rouges de le cheminée, le plus haut édifice industriel de département, de Lucy III. Dès aujourd’hui il faut que je m’habitue au vide derrière les rideaux de mes fenêtres. C’est sans doute rien pour beaucoup de gens, pour moi ça veut dire beaucoup.

En même temps on finit par s’habituer à tout, même au vide.

Gilles Desnoix