Ce jeudi matin, un nouveau petit-déjeuner des entreprises était organisé dans les locaux de l’entreprise Monnet au 71 rue du petit bois,  réputée pour ses chaussettes de sports.

Daniel Yves Porte, président de la société a accueilli  la Maire Marie-Claude Jarrot, accompagnée de plusieurs élus et agents de la ville ainsi qu’une bonne centaine de chefs d’entreprises, commerçants et artisans.

« L’usine c’est la star du jour », déclare le dirigeant. Quand je fais défiler ces dix dernières années, le fait majeur, ce qui a été primordial, c’est la capacité d’adaptation des hommes et des entreprises : savoir évoluer sans oublier qui on est et nos valeurs.

La 1ère c’est la Made in France : un atelier vivant et un label Patrimoine vivant

la 2ème, un hommage à l’équipe et à la technicité.

La 3ème, l’innovation qui illustre une société en mouvement, à l’écoute des clients et des magasins.

On a changé le mode de production et on a réussi à se hisser sur la 1ère marche du podium sans jamais baisser les bras ».

M.C Jarrot félicite l’équipe pour cette dynamique autour du textile : « Vous avez su  vous adapter et innover ».

Le prochain petit déjeuner des entreprises, le 40ème, aura lieu chez Passard, le 19 octobre.

La Maire présente le couple Godard qui a ouvert  le 16 septembre, l’enseigne « Grain de Malice » au centre ville et indique la date du forum inversé de l’emploi, le 13 octobre à l’Embarcadère.

Puis, M.C Jarrot a rappelé les différents projets en cours : l’éclairage public, le complexe sportif Jean Bouveri, l’Embarcadère, le cinéma, …

Les investissements :  au Bois du Verne, informatisation des écoles, l’espace de vie sociale au Bois du Verne, les stades du Magny et des Alouettes, la friche Loison et le début de la commercialisation, le mobilier urbain, le projet immobilier du Magny, l’ouverture de la MAM en novembre, étude au lavoir des Chavannes, …

L’événement marquant pour le territoire sera la destruction du réfrigérant et de la tour de Lucy III, le mercredi 8 novembre à 14h 00. Une opération portée et financée par le propriétaire, Gazel Energie.

« Nous méritons autre chose que des friches ».

J.L Pradines