Ce mardi à 19h 00, l’Intermarché de la Saule a accueilli la foule des grands soirs pour célébrer la réouverture du magasin après 9 jours de travaux.

Un chantier colossal réalisé dans un temps limité, effectué par plus de 25 entreprises, coordonnées par Stéphane Boivin du cabinet QUATRA Architecture (Centre Commercial de Alouettes)

En effet, l’Intermarché de la Saule a fait peau neuve, du sol au plafond, intérieur et extérieur, et rouvre ses portes ce mercredi 16 mars.

Les nombreux invités : collaborateurs, élus, fournisseurs, entreprises, adhérents, …, ont effectué la visite du magasin pour découvrir le nouvel agencement, les nouveaux espaces et les caractéristiques de cette nouvelle identité. Les avis sont unanimes : « c’est splendide, chouette !, beaucoup plus lumineux, mieux agencé et l’impression d’un magasin beaucoup plus grand ».

Dès l’entrée, on découvre les fruits et légumes avec des espaces bas, ouverts et qui laissent découvrir les autres métiers affichés : on ne parle plus de rayon mais de profession, d’hommes et de femmes : boucher, poissonnier, fromager, charcutier… On trouve également des espaces spécifiques : bio, vrac, …

Le mobilier a été remplacé pour faire place à des meubles plus bas qui ouvre les espaces et donnent une impression de grandeur, de volumes plus importants.

L’objectif est de proposer le meilleur accueil possible pour la clientèle dans un espace remodelé, moderne, offrant plus de confort et une circulation plus fluide.

Frédéric Goncalves, représentant l’Union des Mousquetaires, a rappelé les objectifs de l’enseigne, les trois commandements des mousquetaires depuis 50 ans : « prix bas, taille humaine et proximité ».
« Avec 3500 poins de vente, 146 000 collaborateurs, les mousquetaires réalisent un chiffre d’affaire de 40 milliards.
Composé de chef d’entreprises indépendants, les mousquetaires se battent pour le bien-être du client, et sont une société d’hommes et non de capitaux ».

Puis, le président, Anthony Guiloux a salué tous les présents et rappelé l’histoire de l’Intermarché de La Saule…
« Il y a 40 ans, Jean Guilloux, le grand-père, en reconversion professionnelle, cherchait un lieu pour installer un commerce. En 1980, il trouve ce terrain sur le quartier des Goujons et ouvre le premier Intermarché en 1982, qui deviendra vite référence sur Saint-Vallier.
Au cours des années, le magasin subira plusieurs évolutions et changements ».
En 2016, Anthony rentre en France pour travailler en famille et prend les rênes de l’enseigne en 2019 à l’image de son père, Jean-Pierre Guilloux. Il découvre le concept FAB MAG, des magasins de demain. « Il était nécessaire de moderniser et de rénover à la Saule ». Le projet prend forme et est finalisé.
Neuf jours de travaux pour tout refaire, mettre en place les nouveautés induites par le FAB MAG, c’est un sacré défi !

« Un parcours client repensé, pour redécouvrir le plaisir de faire ses courses
Conçu comme un grand marché, le nouveau magasin met en valeur les produits frais et le “fait maison”, tout en incitant à des modes de consommation plus respectueux de l’environnement en favorisant les circuits courts et la collaboration avec les producteurs locaux.
Par exemple, les meubles du froid fonctionnent à l’eau glycolée et les congélateurs au CO2 ».

Anthony Guilloux souligne l’aventure humaine du projet. Il remercie les commerçants de la galerie qui ont également joué le jeu et ont effectué des rénovations et transformations pendant ce temps. Il tient a remercié particulièrement, l’architecte Stéphane Boivin pour son implication totale dans le projet et qui a assuré un suivi et une coordination sans parfaite des nombreuses entreprises intervenantes sur le chantier. La famille n’est pas oubliée, trois générations de Guilloux tombées dans la marmite des Mousquetaires ! Et les personnels, avec qui il prend plaisir à travailler et qui sont et font l’Intermarché de Saint-Vallier.

Le Maire Alain Philibert dit toute sa joie d’être présent pour cet événement, fier de cette zone commerciale : « Vous êtes un élément fort de l’attractivité de notre ville ».

Il rappelle le travail énorme de Jean Guilloux, puis Jean-Pierre et très heureux de la réussite d’un de ses anciens élèves.

Il souligne également les qualités du personnel : « compétent, sympathique, … C’est une richesse pour un commerce qui permet d’être bien accueilli, qui n’est pas cher et pour qui c’est l’Humain qui compte. »

J.L Pradines