C’est arrivé un 14 mars… (Voir la vidéo)
1879 : la naissance d'Albert Einstein !
1879 : la naissance d’Albert Einstein !
Aujourd’hui, nous avons décidé de traiter d’un « sujet » qui devrait plaire à notre fidèle lecteur : Electron Libre qui aurait été plus à même de le faire, vu ses connaissances mais, tant pis, nous ferons encore une fois référence à Wikipédia (l’encyclopédie libre) pour nous raconter (une partie) de l’histoire qui suit ! Ce ci expliquant le fait que nous mettions « en avant » cette rubrique !
Photo : http://knowyourmeme.com/memes/albert-einstein-copypasta
« Albert Einstein (en allemand : [ˈalbɐt ˈaɪnʃtaɪn] Prononciation du titre dans sa version originale Écouter) né le 14 mars 1879 à Ulm, Wurtemberg, et mort le 18 avril 1955 à Princeton, New Jersey est un physicien théoricien qui fut successivement allemand, puis apatride (1896), suisse (1901), et enfin sous la double nationalité helvético-américaine (1940).
Il publie sa théorie de la relativité restreinte en 1905, et une théorie de la gravitation dite relativité générale en 1915. Il contribue largement au développement de la mécanique quantique et de la cosmologie, et reçoit le prix Nobel de physique de 1921 pour son explication de l’effet photoélectrique. Son travail est notamment connu du grand public pour l’équation E=mc2, qui établit une équivalence entre la matière et l’énergie d’un système.
Il est aujourd’hui considéré comme l’un des plus grands scientifiques de l’histoire, et sa renommée dépasse largement le milieu scientifique…. »
Cela étant nous allons passer directement (excusez-nous cher ami) à :
Année 1905
« L’année 1905 est une année exceptionnellement fructueuse pour Einstein (elle est souvent désignée par l’expression latine annus mirabilis), quatre de ses articles étant publiés dans la revue Annalen der Physik :
le premier article, publié en mars, expose un point de vue révolutionnaire sur la nature corpusculaire de la lumière, par l’étude de l’effet photoélectrique. Einstein l’intitule : Sur un point de vue heuristique concernant la production et la transformation de la lumière. Il y relate ses recherches sur l’origine des émissions de particules, en se basant sur les travaux de Planck qui avait, en 1900, établi une formule d’un rayonnement quantifié, c’est-à-dire discontinu. Planck avait été contraint d’aborder le rayonnement lumineux émis par un corps chaud d’une manière qui le déconcertait : pour mettre en adéquation sa formule et les résultats expérimentaux, il lui avait fallu supposer que le courant de particules se divisait en blocs d’énergie, qu’il appela quanta. Bien qu’il pensât que ces quanta n’avaient pas de véritable existence, sa théorie semblait prometteuse et plusieurs physiciens y travaillèrent. Einstein réinvestit les résultats de Planck pour étudier l’effet photoélectrique, et il conclut en énonçant que la lumière se comportait à la fois comme une onde et un flux de particules.
L’effet photoélectrique a donc fourni une confirmation simple de l’hypothèse des quanta de Max Planck. En 1920, les quanta furent appelés les photons ;
deux mois plus tard, en mai, Einstein fait publier un deuxième article sur le mouvement brownien. Il explique ce mouvement par une entorse complète au principe d’entropie tel qu’énoncé à la suite des travaux de Newton sur les forces mécaniques : selon lui, les molécules tireraient leur énergie cinétique de la chaleur. Cet article fournit une preuve théorique (vérifiée expérimentalement par Jean Perrin en 1912) de l’existence des atomes et des molécules. Le mouvement brownien a été expliqué au même moment que par Einstein par Marian Smoluchowski et quelques années avant par Louis Bachelier en 1900, avec des motivations liées aux mathématiques financières ;
le troisième article est encore plus important, car il représente la rupture intuitive d’Einstein avec la physique newtonienne.
Dans celui Sur l’électrodynamique des corps en mouvement, le physicien s’attaque au postulat d’un espace et d’un temps absolus, tels que définis par la mécanique de Newton, et à l’existence de l’éther, milieu interstellaire inerte qui devait soutenir la lumière comme l’eau ou l’air soutiennent les ondes sonores dans leurs déplacements. Cet article, publié en juin, amène à deux conclusions : l’éther n’existe pas, et le temps et l’espace sont relatifs. Le nouvel absolu qu’Einstein édifie est détaché de la valeur quantitative de ces deux notions que sont l’espace et le temps, qui restent cependant liées par la conservation à travers différents référentiels d’études de l’intervalle d’espace-temps entre événements, notion similaire à la distance entre points de l’espace. Les conséquences de cette vision révolutionnaire de la physique, qui découle de l’idée qu’Einstein avait de la manière dont les lois physiques devaient contraindre l’univers, ont bousculé tant la physique théorique que ses applications pratiques. L’apport exact d’Einstein par rapport à Henri Poincaré et quelques autres physiciens est aujourd’hui assez disputé (voir Controverse sur la paternité de la relativité) ;
le dernier article, publié en septembre, donne au titre L’inertie d’un corps dépend-elle de son contenu en énergie ? une réponse célèbre : la formule d’équivalence masse-énergie, E=mc2. C’est un résultat de la toute nouvelle relativité restreinte, dont découle un vaste champ d’études et d’applications : physique nucléaire, mécanique céleste, et armes et centrales nucléaires, par exemple….«
Pour lire l’article complet, cliquez sur :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Albert_Einstein
Signé : quelqu’un littéralement fasciné par ce scientifique hors du commun !
Note de la rédaction : si Electron Libre veut « mettre sa touche personnelle » dans cette extraordinaire vie, qu’il sache que nous serions non seulement flattés mais honorés de mettre en ligne son texte « à part » comme un autre article ! A bon lecteur…
Documentaire La lumière selon Albert Einstein