Ce samedi soir sur la scène de l’Auditorium aux Ateliers du Jour, Jack Simard a fait le plein pour un moment unique et particulier, « trois minutes trente avant la fin des temps ! »

Le compte à rebours est enclenché… Tuer ce temps, rien ne sera plus jamais comme avant…

Jack Simard construit l’éloge du doute, dire c’est choisir…

Et si quelqu’un prenait sa place, dans son backstage…

Jack Simard, c’est la chanson « les sardines »  mais dans le cercueil… On a l’idée et l’ambiance, le  décor de ses états d’âmes, de ses réflexions !

Jack Simard lâche physiquement ses textes, il part à l’assaut des incompréhensions, en dégageant une puissance et une énergie  folle pour des interprétations théâtralisées,  une manière de vivre ses titres qui prennent une envergure explosive sur des arrangements colorés au jazz.

Quand il nous livre son bilan : « Je n’ai fait que des alexandrins / que du pain à l’épeautre / et des caresses au chien /… / On n’a pas su s’aimer… »

« On ne fait pas semblant

Quand on ne sait pas vivre »

L’émotion à fleur de peau, porté au plus haut, par le Non, le refus, la quête de l’ultime ! …

« Apprendre à dire NON c’est déjà devenir quelqu’un

On n’est jamais mieux récompensé par les décisions que l’on prend. »

J.L Pradines