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jeudi 30 octobre 2014 à 11:08

C’est arrivé un 30 octobre… (Voir les vidéos)

Naissance en 1962 d'Arnaud Montebourg !



Arnaud Montebourg, est né le 30 octobre 1962 à Clamecy (Nièvre), est un homme politique français.

 

 

C’est ainsi que commence l’article consacré par Wikipédia (l’encyclopédie libre) à ce politique bien connu dans notre département !

 

Et de poursuivre : 

 

« Avocat de profession, membre du Parti socialiste depuis 1985, il est député à l’Assemblée nationale, élu dans la sixième circonscription de Saône-et-Loire, de 1997 à 2012 ; il est également président du conseil général de Saône-et-Loire de 2008 à 2012. À partir du congrès de Reims de 2008, il est secrétaire national du Parti socialiste chargé de la rénovation.

 

Après être arrivé en troisième position du premier tour de la primaire présidentielle socialiste de 2011, il est nommé, le 16 mai 2012, ministre du Redressement productif dans le gouvernement Jean-Marc Ayrault. Il devient ministre de l’Économie, du Redressement productif et du Numérique, dans le gouvernement Manuel Valls I, le 2 avril 2014 ; critique envers l’action du gouvernement, il perd ses fonctions avec la démission du gouvernement Valls, quelques mois plus tard, le 25 août 2014. »

 

Biographie

Enfance, études et famille

« Arnaud Montebourg est le fils de Michel Montebourg, né en 1933 dans la région d’Autun, fonctionnaire des impôts, et de Leïla Ould Cadi, universitaire, née à Oran en 1939, professeur d’espagnol et essayiste issue, par son père, Khermiche Ould Cadi, d’une famille de walis d’Algérie et d’une mère normande. Son aïeul Ahmed Ould Cadi, agha de Frendah (Oran), qui combattit aux côtés de l’armée française lors de la conquête de l’Algérie, fut fait chevalier de la Légion d’honneur en 1842, officier en 1852, commandeur en 1860 puis grand officier dans cet ordre en 18674.

 

Habitant de Fixin (Côte-d’Or), Arnaud Montebourg étudie au collège Marcelle-Pardé à Dijon, puis au lycée Stéphen-Liégeard à Brochon (Côte-d’Or) avant d’étudier le droit en 1980 à l’université de Dijon. C’est à cette époque qu’il milite au sein de l’Union nationale des étudiants de France et adhère au Parti socialiste. Il poursuit ses études à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, où il obtient sa licence de droit, puis entre à l’Institut d’études politiques de Paris ; il y tente le concours d’entrée de l’ENA, auquel il échoue. Un peu avant son service national, il adhère au club fabiusien « Espace 89 », animé par Thierry Mandon… »

 

Carrière d’avocat

 

Arnaud Montebourg commence sa carrière professionnelle comme avocat à la Cour d’appel de Paris (en 1990). Il débute sa carrière auprès de Thierry Lévy. En 1992, il devient premier secrétaire de la conférence du stage des avocats de Paris.

 

Il a plaidé dans plusieurs affaires médiatiques :

 

– en 1992, il plaide dans l’affaire du Carrefour du développement ;

 

– en 1995, commis d’office, il défend Christian Didier, assassin de René Bousquet ;

 

– en 1995, il assure la défense de Christine Villemin ;

 

– en 1995, il assiste l’association de défense des contribuables parisiens ;

 

– en 1996, il défend l’association de défense des contribuables du Doubs ;

 

– en 1996, il défend l’affaire des « paumés de Marrakech ».

 

Carrière politique

 

Débuts en politique

 

« Le 1er juin 1997, il est élu député de Saône-et-Loire pour le groupe socialiste. Son premier mandat est marqué par une volonté de rupture avec les pratiques de son prédécesseur et par une lutte appuyée contre les accords régionaux entre la droite et l’extrême-droite. Avec Vincent Peillon, il anime la mission parlementaire d’information sur le blanchiment des capitaux en Europe.

 

Farouche opposant à l’immunité du président de la République (en particulier vis-à-vis des affaires de malversation, affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris, financement occulte du RPR, affaire des marchés publics d’Île-de-France, affaire des HLM de Paris, etc.), il propose en 2001 une résolution du Parlement tendant au renvoi de Jacques Chirac, président de la République, devant la commission d’instruction de la Haute Cour de Justice, commission qui ne sera pas formée, entre autres après le refus du premier ministre d’alors, Lionel Jospin… »

 

Parcours au sein du Parti socialiste

 

« Pendant la campagne du référendum sur le « projet de traité établissant une Constitution pour l’Europe » (2004-2005), pourtant partisan du « non », il ne prendra pas part à la campagne, contrairement à la plupart des autres dirigeants socialistes tenants de cette position (Laurent Fabius, Jean-Luc Mélenchon, Henri Emmanuelli), respectant le résultat du référendum interne du Parti socialiste.

 

Partisan de l’adhésion de la Turquie à l’Union européenne, il a exprimé le souhait de voir la Turquie intégrer l’Union européenne sous condition de respecter les critères de Copenhague lors d’un entretien paru dans le quotidien Le Parisien daté du 10 avril 2004. Il en est de même pour certains pays des Balkans comme la Bosnie-Herzégovine ou l’Albanie.

 

Lors du Congrès du Parti socialiste au Mans le 20 novembre 2005, il refuse la synthèse générale, car, selon lui, elle était effectuée à vil prix, et, en outre, elle ne comportait pas l’idée de VIe République, qui lui est chère. En désaccord sur le fond avec ses anciens camarades du NPS, notamment Vincent Peillon et Henri Emmanuelli, il estime que le NPS est mort.

 

Le samedi 10 décembre 2005, à Paris, Arnaud Montebourg et ses amis jugeant le Nouveau Parti socialiste (NPS) mort, créent, au cours d’une réunion en présence de quelque deux cents personnes, dont près d’une centaine de correspondants du nouveau mouvement, un courant d’idées au sein du PS nommé Rénover maintenant…. »

 

Porte-parole de Ségolène Royal pour l’élection présidentielle de 2007

 

« Le 24 juillet 2006, il apporte officiellement son soutien à la candidature de Ségolène Royal à l’investiture du parti socialiste pour la présidentielle de 2007.

 

Le 2 janvier 2007, Arnaud Montebourg fait paraître dans le journal Libération un article sur l’installation de Johnny Hallyday à Gstaad et, plus largement, sur le statut supposé de paradis fiscal de la Suisse et certains pays de l’Union européenne, avec l’approbation de Ségolène Royal. Le porte-parole de la candidate se refuse ensuite à tout commentaire à la presse suisse (notamment La Liberté), mais donne une interview en podcast sur Betapolitique, où il réaffirme sa position et la radicalise. L’attaque génère une forte émotion en Suisse et dans les pays incriminés, notamment au Luxembourg qui, par la voix de Luc Frieden, réaffirme sa politique bancaire et sa solidarité avec la Suisse. Le 4 janvier 2007, Micheline Calmy-Rey, présidente de la Confédération suisse, rappelle l’apport de la Suisse à la France et exige qu’on fasse preuve de respect pour sa souveraineté et son mode de taxation des résidents. L’affaire est, certes, comprise dans son contexte électoral, mais prend une résonance particulière si elle est mise en perspective avec les débats intervenant entre la Suisse et l’Union européenne au sujet des accords bilatéraux (fiscalité).

 

Porte-parole de Ségolène Royal, il présente sa démission le 18 janvier 2007 après avoir lancé une plaisanterie sur François Hollande (« Ségolène Royal n’a qu’un seul défaut. C’est son compagnon. ») mal perçue par Ségolène Royal18. Royal préfère le suspendre symboliquement de sa fonction pendant un mois. »

 

De député à président du conseil général de Saône-et-Loire

 

« Il se retrouve en difficulté à l’issue du premier tour des législatives du 10 juin, rassemblant 41,37 % des voix contre 43,95 % pour l’ancien agent de la DGSE Arnaud Danjean. Lors d’une campagne mouvementée, il qualifie son adversaire de « barbouze en goguette » pendant un meeting à Saint-Rémy en présence de Ségolène Royal. Il réussit à remporter un troisième mandat d’une courte majorité (50,34 % des suffrages) dans une circonscription plutôt portée à droite avant sa première élection et qui a voté à 53,87 % en faveur de Nicolas Sarkozy à l’élection présidentielle. Le soir de sa réélection, il fait cette déclaration : « Rien ne sera plus jamais comme avant au Parti socialiste ! Fini le temps des éléphants révolus et place aux jeunes lions ! ». Il confirme ainsi sa volonté d’apparaître comme leader du pôle des rénovateurs du Parti socialiste.

 

Le 27 juin 2007, il est nommé par Jean-Marc Ayrault premier vice-président du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche (SRC) de l’Assemblée nationale, chargé de la commission « prospective », directement chargé de répondre à Éric Besson, secrétaire d’État chargé de cette question. En juillet 2008, il est de nouveau candidat au poste de président de groupe…. »

 

Ministre du Redressement productif puis de l’Économie, du Redressement productif et du Numérique

 

« François Hollande élu président, un nouveau gouvernement est constitué le 16 mai 2012 autour du Premier ministre Jean-Marc Ayrault. Le communiqué officiel ne fait plus mention de l’Industrie pour désigner le ministère placé sous la direction d’Arnaud Montebourg, mais utilise l’expression « ministère du Redressement productif ». L’économie, les finances et le commerce extérieur, de même que l’énergie, font l’objet de ministères indépendants. Le ministre du Redressement productif est assisté par la ministre déléguée Fleur Pellerin, chargée des petites et moyennes entreprises, de l’innovation et de l’économie numérique.

 

Lors du débat sur l’avenir de la sidérurgie lorraine, il souhaite nationaliser temporairement le site Arcelor Mittal de Florange, sur le modèle de ce qu’ont réalisé les États-Unis en 2009 lors de la nationalisation de General Motors pour se prémunir de l’endettement gigantesque d’ArcelorMittal. Face à la réticence de Jean-Marc Ayrault, il menace de démissionner sans parvenir à obtenir l’accord de François Hollande.

 

Soutenant le rapport Gallois en novembre 2012, il rompt avec son image de représentant de la gauche du PS : selon son proche Paul Alliès, « Il y a une confusion qui traîne : les batailles menées à l’intérieur du PS, primaire incluse, le placent à la gauche du parti. Entre Benoît Hamon et lui, ce serait du pareil au même… Or, de la VIe République à la réindustrialisation et la démondialisation, Montebourg est sur un créneau moderniste, avec quelques classiques républicains, mais pas sur le périmètre habituel de la gauche du PS (…) À la gauche du PS, on prône le primat du social sur l’économie. Arnaud fait l’inverse : pour lui, le social passe par l’économie ».

 

Après avoir prôné la démondialisation lors des primaires socialistes, le ministre cherche à relancer la production nationale par un discours volontariste sur la nécessité de consommer du « made in France » et sur les réussites innovantes françaises. Mi-septembre 2013, il présente avec François Hollande les 34 « plans » industriels d’avenir sur lesquels son ministère travaille depuis un an ; cette posture de « reconquête industrielle » se substituant à son rôle de « pompier » et de frondeur à l’égard des chefs d’entreprise.

 

Fin août 2013, il déclare ne pas souhaiter se présenter à un nouveau scrutin une fois sa fonction de ministre achevée, si ce n’est l’élection présidentielle.

 

En 2014, Arnaud Montebourg prête sa voix et ses traits au personnage d’un singe en marinière dans un épisode du dessin animé Silex and the City

 

Début avril 2014, à la formation du gouvernement Manuel Valls, son portefeuille s’élargit à l’Économie, au Redressement productif et au Numérique….

 

Mais Arnaud Montebourg conteste la politique économique de François Hollande et Manuel Valls privilégiant une politique de l’offre et une réduction forte des déficits plutôt qu’un soutien à la croissance et aux ménages. Le 25 août 2014, après ses déclarations contre la politique économique du couple exécutif prononcées à la Fête de la rose de Frangy-en-Bresse, le Premier ministre Manuel Valls remet la démission du gouvernement au président de la République. »

 

Pour lire l’article complet :

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Arnaud_Montebourg

 

Signé : un fan de son franc-parler !

 

 

 

 


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