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samedi 28 février 2015 à 10:00

C’est arrivé un 28 février… (Voir LA vidéo)

La Journée mondiale sans Facebook !



Une fois encore nous avons fait appel à Wikipédia (l’encyclopédie libre) qui nous rappelle que ce jour là est :

 

 

FACEBOOK LOGO 27 02 15

 

 

 

« Journée mondiale sans Facebook, initiée par des utilisateurs de Facebook pour sensibiliser l’administration du réseau social à la cyber-dépendance et aux intrusions dans la vie privée.« 

 

C’est ainsi qu’est présenté cette journée mais dans un souci d’aller plus loin, nous avons cliqué sur le lien Cyber-dépendance  et voici ce qu’on y a trouvé :

 

« La dépendance à Internet (également nommée cyberdépendance, cyberaddiction, usage problématique d’Internet (UPI) ou trouble de dépendance à Internet (TDI)) désigne un trouble psychologique entraînant un besoin excessif et obsessionnel d’utiliser un ordinateur et interférant sur la vie quotidienne. Elle prend un enjeu pathologique comme il est diagnostiqué dans le manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-IV) en tant que modèle de description du TDI.

 

 

Des activités en ligne, telles que l’achat en ligne, si faite en personne, peuvent être considérées comme problématiques si celles-ci sont compulsives. D’autres activités, comme la lecture ou les jeux vidéo, sont également considérées comme problématiques si celles-ci interfèrent sur la vie quotidienne. Plusieurs classifications ont été souvent divisées en sous-types vis-à-vis des activités comme notamment la dépendance à la pornographie, aux jeux en ligne, au réseautage social en ligne, aux courriels, ou aux achats sur Internet.

 

 

L’expression anglophone (Internet addiction) est employée pour la première fois par la psychologue américaine Kimberly Young (en), lors d’un colloque de l’American Psychological Association (APA) à Toronto (Canada) en 1996. Otto Fenichel (1949) soulève le premier la question des « toxicomanies sans drogues ». Selon le docteur Ivan K. Goldberg, la dépendance à Internet est un symptôme et non un trouble à proprement parler. Le docteur Goldberg, quant à lui, s’inspire de la dépendance aux jeux d’argent pour sa description de l’hypothétique « dépendance à Internet ».

 

Signes et symptômes

 

« D’après le spécialiste français Romain Cally « sur le web, la compulsion apparaît lorsque l’internaute ne juge plus son comportement normal, mais ne peut pour autant éviter de se connecter. Si l’individu ne faisait pas cette action, son anxiété en deviendrait difficilement soutenable, voire insuportable. » Selon l’auteur, Internet semble remplir différentes fonctions psychologiques pour l’internaute, tels qu’un échappatoire à une réalité difficilement supportable ou encore un exutoire à des pulsions impossibles à assouvir dans la réalité.

 

 

Selon le psychologue américain, Ivan K. Goldberg, « la dépendance à Internet peut déterminer la négation ou l’évitement d’autres problèmes de la vie courante ». La conduite addictive traduit l’immaturité socio-affective qui détermine l’impossibilité de se construire une identité psychosociale véritable, solide. La situation est amplifiée par la coexistence d’un sentiment de non-valeur personnelle, de non-reconnaissance. La cyberdépendance se caractérise par l’ensemble des problèmes liés à l’utilisation de l’outil informatique qui auront un effet négatif et destructeur sur l’utilisateur. Il est question de dépendance à Internet lorsque les symptômes suivants apparaissent :

 

 

Symptômes psychologiques allégués :

 

 

– sentiment de bien-être et d’euphorie lors de l’utilisation d’Internet ;

 

– incapacité à arrêter d’utiliser Internet ;

 

– besoin d’augmenter de plus en plus le temps d’utilisation d’Internet (le malade en vient à se lever la nuit pour utiliser Internet) ;

 

– manque de temps pour la famille, les amis ou d’autres loisirs ;

 

problèmes d’assiduité ou de performance au travail ou à l’école ;

 

– mensonges à la famille ou aux amis sur le temps consacré à Internet ;

 

– dépression ou l’irritabilité lorsque la personne est privée d’Internet.

 

Symptômes physiques allégués :

 

 

– yeux secs ;

 

– maux de tête migraineux ;

 

– maux de dos ;

 

– syndrome du tunnel carpien ;

 

– repas irréguliers ou sautés ;

 

– mauvaise hygiène personnelle ;

 

– insomnies ou changements dans le cycle du sommeil.

 

Les psychiatres américains et allemands observent une très forte fréquence de ce trouble : le Berliner Zeitung avance le chiffre d’un million pour l’Allemagne. En France, le problème commence à être décrit surtout chez les adolescents, très friands de jeux vidéo en réseau et de conversations (chat ou les visio-chats).

 

 

Tests de dépendance

 

Bien que la « cyber dépendance » soit un trouble récent, certains tests existent pour déterminer chez un individu si son comportement est obsessionnel et relève de la « cyber dépendance ». Il est donc à noter que les généralités sont difficiles à établir étant donné le caractère récent de la dépendance. Les résultats de ces tests doivent être considérés avec prudence.

 

 

Le test intitulé Internet stress scale du médecin américain Dr Mort Orman, a été publié en français dans la revue Toxibase en 2002.« 

 

Pou lire l’article :

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9pendance_%C3%A0_Internet

 

Signé : quelqu’un qui n’aime pas Facebook et le revendique !

 

 

 


Ello, le réseau social anti-Facebook (test… par 01net

 

 



 

 



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