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jeudi 19 février 2015 à 09:50

C’est arrivé un 19 février… (Voir la vidéo et : « d’une pierre deux coups… »)

2001 : la disparition du grand Charles... Trenet !



C’est encore Wikipédia (l’encyclopédie libre) qui nous a remis en mémoire que c’est un 19 février que disparaissait un grand, très grand même  de la chanson à savoir :

 

 

CHARLES TRENET 18 02 15

 

 

Photo : 

 

http://benabar.soforums.com/t1305-Charles-Trenet-2011-commemoration-des-dix-ans-de-sa-disparition.htm

 

 

« Charles Trenet, né le 18 mai 1913 à Narbonne et mort le 19 février 2001 à Créteil, est un auteur-compositeur-interprète français.

 

 

Surnommé « le Fou chantant », il est l’auteur de près de mille chansons, dont certaines, comme La Mer, Y’a d’la joie, L’Âme des poètes, ou encore Douce France, demeurent des succès populaires intemporels, au-delà même de la francophonie.« 

 

 

Bien évidemment un très long et fort documenté article lui est consacré mais, pour notre part, nous nous contenterons d’évoquer :

 

Retour en France

 

 

« En 1954, Trenet rentre à Paris où le public ne l’a pas oublié. Ses nouveaux succès comme La Mer – écrite dans le train entre Perpignan et Montpellier – ou Nationale 7 confortent sa notoriété. D’autres grandes chansons datent des années 1950 : La Folle Complainte – bien que d’un aspect extravagant, l’une de ses œuvres parmi les plus riches –, Moi, j’aime le music-hall et L’Âme des poètes.

 

 

Au début des années 1960, avec la vague yéyé, Charles Trenet se fait plus rare sur scène. Ces années sont pour lui l’occasion de se consacrer à la peinture et l’écriture. Il publie le roman Un Noir éblouissant (chez Grasset). En 1968, Trenet a cinquante-cinq ans et trente années de carrière, qu’il envisage de fêter sur la scène de Bobino, mais les événements de mai 68 le font renoncer, et c’est au Don Camilo qu’il effectue une rentrée discrète. Son grand retour se fait l’année suivante au Théâtre de la Ville. »

 

 

Second retour et premiers adieux

 

« Il reprend la route des studios et de la scène en 1971 pour faire ses adieux à l’Olympia en 1975. Il a alors soixante-deux ans. Affecté par la mort de sa mère en 1979 il s’enferme dans le silence et retourne dans sa propriété du sud de la France.

 

 

Le producteur québécois Gilbert Rozon, qui admire Trenet, se met alors en tête de relancer sa carrière, et finit par le convaincre. Charles Trenet revient à la scène en 1983 à l’occasion du Festival Juste pour rire de Montréal. Il ne la quittera plus. En 1987, âgé de soixante-quatorze ans, il obtient un grand succès au Printemps de Bourges, où Jacques Higelin, inconditionnel des chansons de Trenet, l’a déjà présenté – voire imposé – lors du premier festival, à l’époque résolument rock, en 1977.

 

 

Les années passent, mais « le Fou chantant » reste indémodable et inépuisable. Il fête ses quatre-vingts ans sur scène à l’Opéra Bastille en mai 1993 devant de nombreux admirateurs, dont le président de la République française François Mitterrand. En 1999, il est fait membre de l’Académie des beaux-arts après avoir été refusé à l’Académie française en 1983.

 

Il enregistre sa dernière chanson Les poètes descendent dans la rue en studio, le 5 mars 1999, avec des musiciens de l’Orchestre philharmonique de Radio France, à l’occasion de la première édition du Printemps des Poètes. Son dernier concert a lieu, en novembre 1999, salle Pleyel à Paris, où il donne trois récitals, chantant assis.« 

 

 

Décès

 

 

« Fatigué, Charles Trenet se retire chez lui, où deux accidents cardio-vasculaires successifs l’épuisent6. Transporté à l’hôpital Henri-Mondor de Créteil, il meurt le 19 février 2001, à l’âge de quatre-vingt-sept ans. Le corps de Charles Trenet est incinéré et ses cendres sont déposées au cimetière de l’ouest de Narbonne, dans le caveau familial en simple ciment.

 

 

Il a légué quelques années plus tôt la totalité de son patrimoine à Georges El Assidi, qui fut son secrétaire particulier pendant près de vingt ans. Selon Lucienne Trenet (demi-sœur de Charles), et Wulfran Trenet (fils de Claude et neveu de Charles), Georges El Assidi aurait dilapidé l’héritage, et ils contestent en 2008 le testament signé du 28 décembre 1999 en assignant Georges El Assidi pour « abus de faiblesse, extorsion, violence et homicide volontaires ». L’affaire aboutit à un non-lieu. Un second procès en appel se tient depuis le 31 janvier 2013. La Cour d’appel rejette la demande d’annulation du testament le 6 mars 2013.« 

 

Pour lire l’article complet (ce que nous vous encourageons vivement à faire), cliquez sur :

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Trenet

 

Signé : un mec ébloui par le talent du « bonhomme »  !

 

 

Maintenant vous allez comprendre pourquoi d’une pierre deux coups !

 

 

 

 

 

Rencontre avec Cabu – Charles Trenet – Qobuz.com

 

 



 

 



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