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jeudi 29 janvier 2015 à 07:31

C’est arrivé un 29 janvier… (Voir la vidéo)

2014 : la disparition de François Cavanna !



Une forme d’hommage à ses amis disparus !

 

 

Encore mille mercis à Wikipédia (l’encyclopédie libre) de nous rappeler que :

 

CAVANNA 28 01 15

 

 

Photo : 

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Cavanna#mediaviewer/File:Fran%C3%A7ois_Cavanna.jpg

 

 

« François Cavanna est un écrivain, journaliste et dessinateur humoristique français, né le 22 février 1923 à Paris et mort le 29 janvier 2014 à Créteil. »

 

C’est ainsi que commence l’article mais arrivons-en à l’essentiel, c’est à dire sa :

 

Biographie

 

La famille Cavanna

 

« Son père, Luigi (1880-1954), était venu de Bettola, village du val de Nure (province de Plaisance en Émilie-Romagne). Sa mère, Marguerite, née Charvin (1890-1976), est originaire du village de Sauvigny-les-Bois dans la Nièvre. Luigi Cavanna travaille comme maçon, la plupart du temps pour l’entreprise Taravella et Cavanna. À la suite des menaces de renvoi en Italie pendant les années 1930, il demande la naturalisation qu’il obtient le 25 octobre 19393. François Cavanna est leur fils unique. »

 

Les études

 

« Durant son enfance, il fait preuve d’un goût exceptionnel pour la lecture et réussit très bien à l’école, malgré une attitude très dissipée. Il passe le certificat d’études primaires à 12 ans, suit les cours de l’école primaire supérieure (EPS) de Nogent-sur-Marne et obtient le brevet en 1939. Mais il n’a pas envie de poursuivre des études et entre à la poste en septembre 1939... »

 

Maintenant arrivons-en à ce qui nous semble l’essentiel :

 

 

De Zéro à Charlie-Hebdo

 

« En janvier 1954, il devient collaborateur d’une publication toute nouvelle, le magazine Zéro, créé par Jean Novi, dont il va devenir rédacteur en chef. Il s’agit d’un « journal de colportage » : parmi les colporteurs apparaît bientôt un ex-engagé en Indochine, Georges Bernier, que son efficacité comme vendeur mène au rang de directeur des ventes. Cavanna abandonne l’activité de dessinateur pour se consacrer à l’écriture, tout en se formant aux aspects techniques du journalisme (mise en page…). Mais il se sent à l’étroit sous la direction de Jean Novi, qui impose des limites au contenu du magazine, d’ailleurs rebaptisé Cordées, nom jugé moins provocant que Zéro.

 

 

Après la mort de Jean Novi (en 1959 ou 1960), Cavanna s’associe avec Georges Bernier (qui prend alors le nom de « professeur Choron ») et quelques autres pour fonder en 1960 le magazine Hara-Kiri (mensuel), puis en 1969 Hara-Kiri Hebdo et le mensuel de bandes dessinées Charlie. Après l’interdiction de Hara-Kiri Hebdo à la suite de sa une sur la mort du général de Gaulle (« Bal tragique à Colombey – un mort »), le journal est relancé sous le titre de Charlie Hebdo.

 

 

En mai 1968, François Cavanna est brièvement hospitalisé pour une crise hémorroïdaire. Il ne peut donc pas, à son grand regret, participer aux événements. Cet épisode est raconté avec humour dans son ouvrage Les Yeux plus grands que le ventre.

 

 

Au début des années 1970, un épisode important de l’histoire de Charlie Hebdo est le départ de Delfeil de Ton. Cavanna et lui se brouillent gravement. L’un comme l’autre, ainsi que leur ami Gébé, ont laissé ce qu’il fallait comme clés pour que l’on puisse comprendre à demi-mot pourquoi : il s’agit clairement d’une affaire non pas politique, ni littéraire, mais personnelle.

 

Cavanna se montre navré de la décision de DDT de quitter Charlie Hebdo, ce qui affecte quelque temps sa production littéraire dans l’hebdomadaire. Il le défend contre des attaques de Jacques Martin, insiste sur le fait que « Delfeil a sa place ici à Charlie Hebdo et peut revenir quand il le voudra », peine perdue : la rupture est consommée.

 

 

Charlie Hebdo cesse de paraître à la fin 1981, victime d’une perte de lecteurs et d’une mauvaise gestion financière. Cavanna collabore ensuite à nouveau avec Choron de 1986 à 1988, à l’occasion d’une nouvelle version de Zéro.

 

 

En juin 1986, sa petite-fille Marie meurt d’une overdose à l’âge de 18 ans. Il passe alors de la tolérance à la dénonciation de la drogue : « Vos enfants sont en danger, même les plus sages. »

 

 

En 1992, Cavanna rejoint la nouvelle formule de Charlie Hebdo, relancé par Philippe Val, Cabu et Wolinski. Il y signe des chroniques et figure à nouveau dans l’ours à la fonction d’« ange tutélaire ».

 

 

En 2000, Choron, qui n’a pas participé à la nouvelle version de Charlie Hebdo, relance Hara-Kiri en association avec André Bercoff : Cavanna intente alors un procès à Choron et Bercoff, leur reprochant à la fois la teneur de cette nouvelle version et le fait que Bernard Tapie ait été annoncé comme collaborateur du journal. Cavanna remporte sa procédure et se voit reconnaître la propriété du titre Hara-Kiri.... »

 

Pour lire l’article complet, cliquez sur :

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Cavanna

 

Signé : un inconditionnel du personnage !

 

 

 

 

 

Ciao Cavanna

 

 

 



 

 



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