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mardi 27 janvier 2015 à 07:35

C’est arrivé un 27 janvier… (Voir la vidéo)

La Journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l’Holocauste !



Encore mille mercis à Wikipédia (l’encyclopédie libre) qui nous rappelle que le 27 janvier est :

 

AUSCHWITCH 26 01 15

 

Photo : http://fr.wikipedia.org/wiki/Auschwitz#mediaviewer/File:Birkenau_gate.JPG

 

« La Journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l’Holocauste, International Holocaust Remembrance Day est une journée du souvenir de l’Holocauste et de prévention des crimes contre l’humanité instituée à initiative des ministres de l’Éducation des États membres du Conseil de l’Europe en octobre 2002 et suivie par l’Organisation des Nations unies. Par une résolution intitulée « Mémoire de l’Holocauste » adoptée le 1er novembre 2005, l’Assemblée générale a décidé que les Nations unies la célèbreraient chaque année, le 27 janvier, à la date d’anniversaire de la libération du camp d’Auschwitz.

 

La résolution 60/7 de l’Assemblée générale des Nations unies

 

« Cette résolution, intitulée « Mémoire de l’Holocauste », a été adoptée le 21 novembre 2005. Elle rappelle les droits et libertés associées à la Déclaration universelle des droits de l’homme, « sans distinction aucune, notamment fondée sur la race, sur la religion ou sur toute autre condition », elle rappelle également le principe fondateur des Nations unies, dont la création est liée à la défaite du régime nazi et « décide que les Nations unies proclameront tous les ans le 27 janvier Journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l’Holocauste ». Elle encourage les États à promouvoir des projets éducatifs et à protéger les lieux de mémoire liés à l’Holocauste, elle condamne toute manifestation qui viserait à sa négation et enfin s’engage à promouvoir un programme au niveau des Nations Unies afin de perpétuer la mémoire de l’Holocauste et empêcher qu’un tel événement se reproduise.« 

 

Compte tenu de l’importance de la question, nous avons choisi de la traiter en deux « chapitres », le second étant :

 

La libération du camp d’Auschwitz-Birkenau

 

« Auschwitz-Birkenau ou plus simplement Auschwitz (en allemand : Konzentrationslager Auschwitz Prononciation du titre dans sa version originale Écouter : Camp de concentration d’Auschwitz) est le plus grand camp de concentration et d’extermination du Troisième Reich. Sa situation est partagée entre les localités d’Oświęcim (Auschwitz en allemand) et de Brzezinka (Birkenau en allemand), annexées au Reich (province de Haute-Silésie) après l’invasion de la Pologne.

 

Ce camp de concentration et d’extermination, dirigé par les SS, est créé le 27 avril 1940 par Heinrich Himmler1 et libéré par l’Armée rouge le 27 janvier 1945. En cinq années, plus de 1,1 million d’hommes, de femmes et d’enfants meurent à Auschwitz, dont 900 000 immédiatement à la sortie des trains qui les y transportaient. 90% de ces personnes étaient juives. Ces victimes, de ce que les nazis appelèrent la « solution finale », furent assassinées dans les chambres à gaz ou parfois par arme à feu, mais elles moururent aussi de maladies, de malnutrition, de mauvais traitements ou d’expériences médicales.

 

En raison de sa taille, Auschwitz est considéré comme le symbole des meurtres de masse commis par les nazis et plus particulièrement comme celui de la Shoah, au cours de laquelle près de six millions de juifs furent assassinés.

 

Comme les autres camps de concentration nazis, Auschwitz était sous les ordres de Heinrich Himmler et de la SS. Le responsable du camp fut le SS-Obersturmbannführer Rudolf Höss jusqu’à l’été 1943, remplacé ensuite par Arthur Liebehenschel et Richard Baer.

 

Monument historique et culturel majeur, qui contribue au « devoir de mémoire », Auschwitz est inscrit depuis 1979 (3e session du Comité du patrimoine mondial) au patrimoine mondial en Pologne de l’UNESCO. »

 

Article qui se poursuit par,et cela est compréhensible,  l’ :

 

Évacuation et libération du camp

 

« À partir d’août 1944, l’Armée rouge est à 200 kilomètres d’Auschwitz. Les autorités nazies envisagent alors la liquidation du camp en cas de nouvelles victoires soviétiques, ainsi que cela avait déjà été fait pour les autres centres d’extermination situés plus à l’Est.

 

Aussi longtemps que cela a été possible, les nazis ont continué l’extermination dans les chambres à gaz. Les nazis ne mettent fin aux travaux d’agrandissement d’Auschwitz (camp souche et Birkenau) qu’à la fin de l’année 1944. Les travaux d’extension de certains des camps auxiliaires continuent pratiquement jusqu’à la libération.

 

Ce n’est qu’en novembre 1944 que les trois crématoires restant en activité sont dynamités (le crématoire IV était déjà inutilisable depuis octobre à la suite de la révolte du Sonderkommando).

 

Avant cela, les nazis entreprennent de détruire et d’effacer les traces des crimes commis. Ils prennent soin d’assassiner la plupart des témoins oculaires du génocide et particulièrement les Juifs qui avaient travaillé dans les crématoires. Ils font nettoyer et recouvrir de terre par des déportés les fosses contenant des cendres de victimes. Ils brûlent les listes des Juifs exterminés, une partie des dossiers et de la documentation, en deux temps : d’abord entre juillet et septembre 1944 pour les listes de transports (Zuganglisten-FP) conservées au bureau de la direction politique, puis en janvier 1945 avant l’évacuation du camp. Cette destruction fut partielle : une commission spéciale soviétique a pu retrouver et réunir, après la libération du camp, un important volume de documents épargnés, notamment 90 000 actes de décès émis d’août à décembre 1943 ainsi que les archives de la Bauleitung, l’administration centrale chargée de la construction (ces archives ont été restituées au Musée d’Auschwitz en 1991-1992). Mais de nombreux documents sont manquants : ce sont en particulier les listes de transport des convois d’Europe occidentale, les registres (Totenbücher) à l’exception de ceux du camp des Tziganes, les listes marquées « SB » (pour Sonderbehandlung, « traitement spécial ») des personnes sélectionnées pour les chambres à gaz, les rapports sur les arrivées et les sélections, les listes de transferts, la plupart des rapports des blocks ainsi que les archives des sous-camps et des entreprises employant les déportés.

 

Après l’été 1944, le camp se dépeuple progressivement. Les détenus évacués sont soit employés dans des usines d’armement situées plus à l’intérieur du Reich (principalement des Polonais et Soviétiques), soit, dans le cadre des marches et des transports de la mort, conduits vers d’autres camps de concentration. La marche de la mort d’Auschwitz à Loslau, endurée par des détenus épuisés, sans manger ou presque, dans un froid glacial, est responsable de plusieurs dizaines de milliers de morts. Le 17 janvier 1945 a lieu le dernier appel général. Y sont présents 67 000 déportés dont 31 800 à Auschwitz I et II et 35 100 dans les camps auxiliaires dépendant de Monowitz.

 

Le camp d’Auschwitz est libéré par l’Armée rouge le 27 janvier 1945.

 

Les camps souches d’Auschwitz I et Auschwitz II – Birkenau sont libérés par les soldats de la soixantième armée du premier front ukrainien dans le cadre d’une offensive sur la rive gauche de la Vistule. Ceux-ci y pénètrent vers 15 heures à la suite de combats qui font 66 morts parmi les Soviétiques. 7 000 déportés, maintenus dans le camp, survécurent jusqu’à la libération. Les soldats soviétiques ont découvert sur place environ 600 corps de détenus, exécutés par les SS pendant l’évacuation du camp ou morts d’épuisement….« 

 

Pour lire l’article, cliqez sur : 

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Auschwitz

 

Signé : quelqu’un qui ne comprendra jamais la barbarie, quelle qu’elle soit !

 

 

Auschwitz : libération du camp d’extermination le 27 janvier 1945 par l’Armée Rouge

 

 

 



 

 



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