Vous allez finir par penser que nous n’en n’avons que pour Wikipédia (l’encyclopédie libre) mais, une fois de plus, c’est grâce à elle que nous avons appris  :

Collection personnelle d’une carte puzzle !

Qu’en 1997 : un sondage mené auprès des auditeurs de Radio France, Radio-Canada, la RTBF et Radio Suisse Romande désigne Ne me quitte pas de Jacques Brel comme la plus belle chanson francophone de tous les temps, rien moins !

Et de poursuivre :

« Ne me quitte pas est une chanson célèbre de Jacques Brel sur la rupture amoureuse, co-composée avec son pianiste Gérard Jouannest et enregistrée par Brel en 1959.

Genèse

« La chanson est écrite après la séparation de Brel et de Suzanne Gabriello. Elle est co-composée avec son pianiste accompagnateur de concert Gérard Jouannest, bien que celui-ci n’en ait jamais été crédité, n’étant à l’époque pas encore inscrit à la Sacem. Elle est ensuite arrangée par François Rauber et enregistrée par Brel le 14 septembre 1959.

Cette chanson a connu plusieurs versions studio :

– La première version est enregistrée en 1959. Sylvette Allart y joue des ondes Martenot.

– En 1961, Brel enregistre une version en néerlandais, intitulée Laat me niet alleen.

Le 20 juin 1972, il réenregistre une nouvelle version, pour l’album qui propose de nouveaux enregistrements des plus célèbres chansons de sa période pré-Barclay (ce disque est communément nommé Ne me quitte pas). »

Composition et analyse des paroles

« Jacques Brel affirmera lors d’une interview que cette chanson n’est pas une chanson d’amour, contrairement à la perception commune que le public s’en fait, mais « un hymne à la lâcheté des hommes. C’est jusqu’où un homme peut s’humilier. Je sais qu’évidemment ça peut faire plaisir aux femmes qui en déduisent, assez rapidement semble-t-il, que c’est une chanson d’amour. Et ça les réconforte ; et je comprends bien ça… ». Édith Piaf disait de cette chanson : « Un homme ne devrait pas chanter des trucs comme ça ! »

Marc Robine, dans sa biographie Grand Jacques, le roman de Jacques Brel, cite deux auteurs qui ont pu influencer Brel pour l’image du chien : Dostoïevski dans sa nouvelle La Douce et Garcia Lorca dans son Sonnetto del dolce pianto (Sonnet de la douce plainte).

Une partie de la chanson reprend un thème de la sixième rhapsodie hongroise de Franz Liszt. »

Pour retrouver l’article complet mais aussi d’autres notes et précisions, cliquez déjà sur :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Ne_me_quitte_pas

mais aussi sur :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Brel

et enfin sur :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Radio_France

Signé : un éternel amoureux des femmes, toutes belles de l’intérieur !

Jacques Brel – Ne me quitte pas – HQ Live