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lundi 25 août 2014 à 10:06

C’est arrivé un 25 août… (Voir la vidéo de l’INA)

1944 : la libération de Paris !



La libération de Paris pendant la Seconde Guerre mondiale a donc eu lieu du 19 au 25 août 1944, marquant ainsi la fin de la bataille de Paris. Cet épisode met fin à quatre années d’occupation de la capitale française est-il écrit sur Wikipédia (l’encyclopédie libre).

 

Suit un long mais assez détaillé sur cet événements :

 

Partant du contexte

 

« Les forces alliées progressent vers l’est, les généraux américains Eisenhower et Bradley, engagés dans les combats de la poche de Falaise, prévoient de contourner Paris pour ne pas être ralentis dans leur progression, notamment au niveau logistique, la libération des 4 millions d’habitants parisiens nécessitant 4 000 tonnes de vivres par jour. Le général Bradley écrit dans ses mémoires4 à propos de la capitale française : « La ville n’avait plus aucune signification tactique. En dépit de sa gloire historique, Paris ne représentait qu’une tache d’encre sur nos cartes ; il fallait l’éviter dans notre marche vers le Rhin ». Les Overlord forecasts (prévisions Overlord) ont pour cible principale le bassin de la Ruhr où se concentre l’industrie lourde allemande, la libération de Paris étant prévue pour fin octobre… »

 

 Evoquant la situation stratégique allemande

 

« Les ordres de Hitler prévoyaient la destruction des ponts et monuments de Paris, la répression impitoyable de toute résistance de la part de la population et de combattre dans Paris jusqu’au dernier homme6 pour créer un « Stalingrad » sur le front Ouest immobilisant ainsi plusieurs divisions alliées. Mais le général von Choltitz7 ne montre aucun empressement à les appliquer. La garnison allemande est forte de 20 000 hommes, mal équipés, aux unités disparates (unités administratives par exemple) de faible valeur combative, 80 chars (dont certains datent des prises de guerre de l’été 1940 comme des chars Renault FT-17 d’un « autre âge ») et autant de pièces d’artillerie, pour certaines désuètes. La retraite des débris de la VIIe armée allemande qui se replie sur la Somme est couverte par de petites unités de circonstance équipées de matériels modernes, canons antichars et Panzers, et qui marquent des coups d’arrêt… »

 

L’insurrection populaire

 

« La résistance parisienne, est commandée par Rol-Tanguy responsable régional des FFI pour l’Île-de-France depuis son poste de commandement sous la place Denfert-Rochereau et par le colonel Lizé (de son vrai nom, Jean de Marguerittes)8, chef des FFI de la Seine (dont le PC est installé 1, rue Guénégaud, tout près de l’hôtel des Monnaies). Jacques Chaban-Delmas est le délégué militaire national du gouvernement provisoire ; il accueille le général Leclerc… »

 

La percée de la 2e DB et la charge vers Paris

 

« À partir de ses positions d’Argentan l’audacieuse attaque française se fait, sans soutien aérien allié, sur 200 km en contournant par le sud les fortes positions allemandes placées à l’ouest de Paris, au milieu d’un enthousiasme populaire indescriptible qui gêne les combattants. C’est que, depuis deux mois, Paris attend les Américains, malgré la propagande de Radio Paris qui annonce la victoire allemande en Normandie (« Radio-Paris ment, Radio-Paris est allemand » disent les résistants), et soudain derrière l’ennemi qui reflue en désordre dans la banlieue, on voit les trois couleurs sur les tourelles des Sherman M4. À la surprise initiale succède une indicible fierté, la foule envahit les rues, on monte sur les chars, partout les drapeaux fleurissent, la rumeur se propage jusqu’à Paris : « Les Français, ce sont des Français de Leclerc ! »…

 

Pour lire la suite, cliquez sur le lien-ci-dessous :

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Lib%C3%A9ration_de_Paris

 

Signé : un passionné d’histoire contemporaine

 

Et la fameuse vidéo :

 

 

liberation 24 08 14

 

 




 

 




 

 

 

 

 



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